Echanges, n° 246 (octobre 2000), p. 14
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Je reste confondu par la « pauvreté » des échanges (avec un é minuscule !) au sein de la communauté protestante en général, alors que la plupart des entreprises et donc lensemble des salariés travaillent en flux « tendu », doù lusage intensif du téléphone, du fax et dInternet. En dautres termes, une réponse à une question doit dêtre « instantanée », au plus tard dans la journée... dans la « com » aussi le flux est tendu ! A penser que le paroissien ne fait pas la différence entre les différents acteurs, dautant que lERF est aussi une entreprise. Si jécris cela, cest que je constate que cela ne saméliore en rien. Un petit bilan sur des questions « urgentes » : Je passe sur les coups de téléphone butant sur des répondeurs dont je me demande sils enregistrent... Et je suis sûr que chacun des « réceptionnistes » à de bonnes excuses qui, à y regarder de plus près, sont souvent bien moins bonnes. Quant à moi, je me demande si je n'aurais pas aussi de bonnes excuses quand un trésorier sollicitera un chèque ! Un exemple concret : plusieurs associations scientifiques, pour navoir pas su gérer leur « com », sont en liquidation ou en difficulté financière, les membres ne renouvelant pas leurs cotisations. Attention, si les cotisants ou les cotisations chutent ou stagnent... il y a problème sous roche (sur le sable cela se serait déjà écroulé !).
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